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    BIENVENUE

    Afrique - Globalisation & mondialisation

    B   Globalisation et désenclavement de l’Afrique.

    L’Afrique est isolée, sans aucun contact physique avec aucune autre terre autour d’elle. Cela handicape fortement la mobilité et l’initiative propre de sa population qui se retrouve prisonnière dans une Afrique bloquée. La conséquence directe est la stagnation dont souffre le continent et le risque visible d’anéantissement de sa population. Sur cette problématique mon souci est d’apporter une expertise scientifique méthodiquement constituée et exposée dans mes publications et conférences.
    Mon argumentation se base sur le rôle de la mobilité et donc de l’ouverture du continent dans la mondialisation-globalisation primordiale et seconde, celle du X è -XVI è siècle, où l’Afrique, fut non seulement pionnière mais principal moteur de cette évolution du monde. Car le rôle important que joua l’Afrique connectée aux terres d’Asie-Europe ainsi qu’aux mers Méditerranée et Rouge, ce rôle-là est mondialement connu et reconnu. À
    cette époque-là, particulièrement avec l’avènement du Grand Empire Égyptien, Bukama, ainsi que celui de Kongo/Éthiopie, l’Afrique avait une grande force politique, économique, culturelle, intellectuelle et militaire. C’est elle qui a entraîné l’Asie-Europe sur le chemin du développement et de la civilisation.
    Dans cette évolution, bénéfique pour tous, les portes d’entrée et de sortie vers l’Asie-Europe jouèrent un rôle important pour tous. Il s’agissait du grand fleuve Nil dont la constitution favorise l’unité de l’Afrique avec l’Asie-Europe, de la Méditerranée où le Nil se jette alors que ses sources se trouvent en plein centre d’Afrique. Il y avait aussi l’Isthme de Suez, cet important pont naturel qui unissait en une seule terre l’Afrique et l’Asie comme le fait le cou qui unit en un seul corps la tête et le tronc. Il y avait également le détroit d’Aden par où les populations Kongo/Éthiopie allaient facilement en
    Arabie et jusqu’en Chine. Les Africains vivaient ainsi avec les autres peuples voisins, ils se côtoyaient, échangeaient et se mariaient. J’insiste pour dire que l’Afrique n’était pas isolée. Elle ne subissait aucun blocus et les Africains n’étaient nullement marginalisés.

    Cette situation d’intégration mutuelle et de progrès demeura ainsi jusqu’au XIXè siècle récent. Ce qui veut dire que l’isolement actuel dont souffre l’Afrique est récent. Car même après la destruction de l’Égypte par le christianisme au IVè siècle, l’Afrique a pu se relever et a retrouvé sa place à partir du Xè siècle. Elle est demeurée puissante 
    jusqu’au XVIè siècle. L’Afrique du Xè au XVIè siècle, c’est l’Afrique des royaumes et des Empires puissants aussi bien à l’Ouest, au Centre qu’à l’Est.
    Elle peut retrouver cette place pour vu qu’elle ne soit plus isolée. Dans mes recherches, j’ai découvert que l’isolement actuel de l’Afrique est voulu et recherché par l’Europe christianisée pour des raisons non avouées de domination et d’exploitation des richesses
    africaines. Il faudra donc qu’elle renonce à cette posture injuste et accepte une coopération gagnant-gagnant avec des États africains responsables et véritablement souverains. Une nouvelle coopération est possible sur la base des infrastructures nouvelles de liaison externe notamment des tunnels ferroviaires et ponts-rails aux détroits de Gibraltar et d’Aden ainsi qu’au Canal de Suez.
    Pour être efficaces et permettre à l’Afrique de décoller, ces infrastructures de liaison externe devront être complétées par  celles de liaison interne incluant des canaux entre le fleuve Niger et le Lac Tchad d’une part, et entre le fleuve Lualaba (Kongo) et le même Lac Tchad, d’autre part. Ce qui va permettre le désenclavement interne de l’Afrique permettant la liaison de l’Est d’Afrique à l’Ouest en passant par le Centre. Mais il faudra encore que l’Europe christianisée qui a installé de nombreuses bases militaires sur le sol africain les démantèle et renonce à installer à la tête des pays africains des régimes dictatoriaux et corrompus.
    Un tel travail qui en appelle à un changement radical des relations entre l’Afrique et sa voisine l’Europe n’arrivera pas de lui-même. Il va falloir un grand travail de sensibilisation et d’éveil de part et d’autre de la Méditerranée. Parmi les moyens envisagés il y a la publication des ouvrages et d’articles, l’organisation des conférences, des séminaires, des campagnes d’information et des projets.
    S’agissant des publications, sur cette question voici la série de publications et conférences déjà réalisées :


    1. Livres :
     La mission civilisatrice au Congo. Réduire les espaces de vie en prison et en enfer, Douala-Berlin-Vienne, Africavenir, 2013, 340 pages ;
     Renaissance africaine. Les villes rurales vertes de Songhaï, Douala, Edicad, 2015, 202 pages.

    5. Livre collectif :
     Globalisation et mondialisation pour l’Afrique à l’horizon 2063. L’urgence de la construction des ouvrages de liaison interne et externe,
         dans Meva’a Abomo D., Ndewe A., Ejuandé E.W., Mounkam Nguefudeu

    B., Gweth S.A., (Dir.), Transport et émergence de l’Afrique en 2063, tome2 : Transports maritime, fluvial et aérien : Défis, opportunités et enjeux à l’horizon 2063 (pp. 251-289), Douala, Edicad, 2025.

    6. Articles :
     Globalisation et désenclavement de l’Afrique. Diagnostic exogène de la crise africaine, dans La Revue Nouvelle, 77è année, numéro 6,           Bruxelles,
    2022, pp. 79-90.
     Le modèle des Villes-Rurales-Vertes de Songhaï (Porto-Novo / Bénin) et le défi de la renaissance africaine, dans Rezo F21 – La Revue,        n°7, 2019, The Green, Dover DE-19901 United States, pp. 30 – 43.

    C. Difululuka dia Kongo- Renaissance du Congo


    Sur ce volet ma recherche consiste à reconstituer la figure du Kongo en tant que grande nation africaine dont les origines remontent aux tous premiers temps de l’histoire humaine. Ceci est important car il faut corriger la version fallacieuse du Congo de Léopold II qu’il aurait constitué de toute pièce. Ce qui est invraisemblable. Dans cette démarche, il s’avère que parmi les signes les plus visibles de la primauté première du Kongo ancestral, outre les premiers écrits sur les graines sèches d’Abbia et l’apparition du mot Kongo dans la plupart des langues du Kongo et du continent, il y a surtout le
    célèbre Os d’Ishango, le premier signe des mathématiques au monde datant de plus de 25.000 ans. Ce vestige a été trouvé dans la région d’Ishango près du Lac Mvuta Nzighé dit Lac Albert. Le nom Ishango fait d’ailleurs référence à celui du Kongo lui-même.
    À propos de l’unité culturelle ancestrale Kongo, j’ai aussi remarqué une lignée culturelle continue allant du pays Bakongo (Bantandu) en passant par le pays Bayaka (Basuku, Bapelende, Bambala, Bayaka) jusqu’au pays des Batshokwe /Balunda, soit une distance continue de plus de 1500 km. Sur tout ce territoire, les populations se comprennent les unes les autres même parlant des langues différentes car en réalité toutes ces langues ont
    un ancêtre commun.
    Un autre fait important concernant cette même préoccupation est l’origine orientale de presque tous les peuples du Kongo selon leurs propres témoignages. Car les peuples du Kongo désignent l’Est du pays et d’Afrique comme étant leur terre d’origine. Ce qui ramène à la région d’Ishango et qui atteste de la véracité de ces propos.
    Plusieurs livres et articles ont déjà été publiées et ainsi que des conférences déjà données :


    1. Livres collectifs :
     Évolution inadaptée des institutions politiques et administratives au Congo. Du 1 er district de l’EIC aux vingt-six provinces actuelles. Analyse,            diagnostic et pistes de solution, dans Mukadi Bonyi Jr.(Dir.), Droiture et rigueur. Mélanges en mémoire
        du professeur Mukadi Bonyi (pp. 611-634), Bruxelles, CRDS, 2024.
     Pour un développement durable au diocèse de Kikwit – Faire du village sa cellule première, dans G.A. Kangosa & W. Manzanza                            Mwanangombe(Dir.), Du vicariat 14 du Kwango à l'Église locale de Kikwit ( pp. 199-217), Kinshasa, Médiaspaul, 2012.


    2. Projets de livres :
     Difululuka dia Kongo – 1 - Bangogo ya Kikongo. Bisono ye Ntendula. 1 - Buku yantete / A - L (Manuscrit)
     Décolonisation et Renaissance du Kongo. De l’union des partis politiques à l’union politique des tribus (Manuscrit)


    3. Articles :
     Solidarité et renaissance de la RD Congo. De l'union des partis politiques à l'union politique des tribus, dans Cahiers des Religions Africaines
    (CRA), Nouvelle série. Volume 4, n. 7-8, Kinshasa, avril-décembre 2023, pp. 139-163. 
     Koloniales Erbe der Missionierung im Kongo, dans Afrika süd glaube und religion, Bonn, 2022/05, pp. 18-31.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 8. Transformer les missions catholiques coloniales en entités nationales
          libérées“, dans le Journal La Prospérité n°6194, Kinshasa, 23/10/2023, p. 6.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 7. Des routes coloniales aux routes nationales“, dans le Journal La Prospérité
          n°6192, Kinshasa, 19/10/2023, p. 10.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 6. Kisasa ya sika“, dans le Journal La prospérité n°6185 du 11/10/2023, Kinshasa,
          p. 14.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 5. Bolobo, nouvelle capitale du Congo“, dans le Journal La Prospérité n°6178 du
          02/10/2023, Kinshasa, p. 10.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 4. De l’union des partis politiques à l’union politique des tribus“, dans le
          Journal La Prospérité n° 6174 du 26/09/2023 , Kinshasa, p. 15.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 3. Le système politico-administratif congolais demeure colonial“, dans le
          Journal La Prospérité n° 6168 du 18/09/2023, Kinshasa, p. 13.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 2. Le Congo des villages“, dans le Journal La Prospérité n° 6164 du
         12/09/2023, Kinshasa, p. 6.
     “Mboka Kongo : décolonisation et renaissance de notre nation. 1. La question des Ancêtres du Congo“, dans le Journal La Prospérité n°6160
          du 06/09/2023, Kinshasa, p. 15.

    4. Conférences :
     Mardi 09/07/2024, La Renaissance congolaise. De 910 partis politiques à 450 mabota réunis. Salle de conférence du Centre de recherche en

    15 sciences humaines (Cresh), Avenue du Comité urbain n°3, Kinshasa/Gombe.
     Samedi 25/05/2024, Eddy Morel, l’Anglais 1 er défenseur du peuple congolais. Salle de Fatima (Notre Dame), Salle Notre Dame, Avenue
         Tombalbay n° 1353, Kinshasa/Gombe.
     Samedi 11/05/2024, La Renaissance du Congo et le désenclavement de la ville de Kinshasa. Salle de conférence de la Cenco, Avenue Mont
         Virunga n° 59, Kinshasa/Gombe.
     Samedi 27/01/2024, Évolution des entités administratives du Congo. De l’EIC au Grand Bandundu. Antagonisme et lutte entre deux paradigmes
        opposés. Évènement Kimvuka 2, Rue Grosse Tour, n°7, 1000 Bruxelles.
     Samedi 18/12/2021, “Le Mwanamwezi, lieu de naissance et du déploiement de l'humanité“, sur Zoom/Mwanamwezi World :
     Vendredi 03/12/2021, “Le musée national de la Rd Congo et le défi de la resacralisation des œuvres pillées, désacralisées et emportées hors du
         pays. Réflexions et propositions concrètes“, Salle Maman Angebi/Cité de la RTNC-Kinshasa, RDCongo, Colloque scientifique international de
         Kinshasa sur la reconstitution des biens culturels et la Renaissance africaine.
     Mercredi 13 octobre 2021, “La place du village ancestral dans le      développement du Congo“, Salle de Tour à Plomb, Rue de l'Abattoir 24,
        1000 Bruxelles.
     Samedi 08 mai 2021, Le sort des Amérindiens guetterait-il les Congolais ? Webinair.
     Mardi 07 juillet 2020, “Le protocole du 30 juin 1960 à Léopoldville ou la démonstration manifeste d'un non-événement ?“, Foyer Saint-              Michel, Rue de Linthout, 150, 1040 /Bruxelles.
     Mardi 30 juin 2020, “Le Congo est-il réellement indépendant ?“ Webinar.
     Mardi 30 juin 2020, “Soixante ans après l'indépendance, quels enjeux pour le Congo ?“, Webinar.
     Vendredi 01 novembre 2019, « Léopold II forever ! Ou la réhabilitation d'un roi belge, criminel devant l'humanité ?», Nifa Caritas Pirckneim- Hauss, Koningstrasse 64-90402 Nuremberg/Allemagne.
     Mardi 22 octobre 2019, “La patiente et laborieuse construction des sociétés africaines traditionnelles“, Centre Amani à Bruxelles.
     Mardi 08 octobre 2019, “Le temps africain des origines à nos jours“, Centre Amani à Bruxelles :
     Jeudi 29 août 2019, “L'apport de la traite négrière dans l'expansion du capitalisme“, Bourse de Bruxelles.
     Vendredi 28 juin 2019, « Léopold II forever ! Ou la réhabilitation d'un roi belge, criminel devant l'humanité ?», Maison des Associations / UPAF de Genève / Suisse.
     Samedi 25 mai 2019, “Le racisme anti-noir : Historique et expansion“,
    Centre Socioculturel Pôle Sud de Lausanne / Suisse.

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